Les maladies cardiovasculaires demeurent la première cause de mortalité dans le monde, représentant un véritable enjeu de santé publique.
Une réalité alarmante
Une étude récente de Santé publique France met en lumière une réalité alarmante : seuls 11% de la population présentent une santé cardiovascu-laire idéale.
Agir tôt sur les facteurs de risque
Il est essentiel d’expliquer clairement ce qu’est une santé cardiovasculaire optimale : l’absence de facteurs de risque tels que le tabagisme, le diabète, l’obésité, l’hypertension artérielle ou encore la sédentarité. Agir tôt sur ces facteurs permet de réduire significativement le risque de maladies graves, comme l’infarctus du myocarde ou l’accident vasculaire cérébral.
Informer les enfants et les adolescents
Les facteurs de risque cardiovasculaire peuvent apparaître dès l’enfance. Il est donc crucial d’agir dès le plus jeune âge, en impliquant l’école, les mé-dias et les réseaux sociaux. Informer les enfants et les adolescents sur l’importance d’une alimentation équilibrée, d’une activité physique régulière et d’une bonne gestion du stress est une démarche essentielle pour préserver la santé future.
Développer des traitement innovants
Malgré les efforts des pouvoirs publics, la recherche en santé cardiovasculaire reste insuffisamment financée. Or, un investissement accru est essentiel pour mieux comprendre les causes des maladies cardiovasculaires, améliorer la prévention et développer des traitements innovants. Soutenir la recherche, c’est donner aux générations futures la possibilité de vivre en meilleure santé.
Plus d’infos sur www.coeur-recherche.fr
Didier Galibert
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