Marine, Chantal, Marion, Aurélie et les autres n’avaient rien à voir avec le milieu médical… jusqu’à ce qu’un médicament ne fasse basculer leur vie et/ou celle de leurs enfants.
Briser les tabous sociétaux
Refusant d’être des victimes silencieuses, elles ont lancé l’alerte. Sans réseaux, sans argent, elles ont usé d’armes encore plus puissantes : leur conviction et leur détermination pour partir à l’assaut des tabous sociétaux que sont l’alcool, les opioïdes, les maltraitances gynécologiques.
Dénoncer les médicaments dangereux
Dans son livre « Les résistantes », la journaliste Florence Méréo transcrit les témoignages ainsi que le combat de ces douze femmes grâce à qui l’on connaît les dangers de la pilule 3e génération, mais aussi que des médicaments dangereux (Distilbène) ou détourné de leurs usages (Cycotec) ont été retirés du marché.
Vers un système de santé plus sûr
Grâce à leur combat des dispositifs médicaux (Essure, prothèses PIP) ont été épinglés et des addictions ont été révélées. Les récentes crises médicales ont cela de commun d’avoir été déclenchées par la dénonciation de ces lanceuses d’alerte. Cet ouvrage met en lumière l’action de toutes ces femmes dans le seul but d’en informer ou d’en inspirer d’autres afin d’offrir un système de santé plus sûr et moins opaque.
A Lire : Les résistantes par Florence Méréo aux éditions Harper Collins.
Didier Galibert
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