Le neuroblastome est le cancer le plus mortel chez les enfants après la leucémie. Les traitements associent aujourd’hui des chimiothérapies combinées à des traitements ciblés sur les molécules qu’exprime la tumeur.
Un long parcours qui force le respect
Si l’annonce de la maladie est un choc, l’univers hospitalier des enfants malades, de leurs parents, mais aussi de leurs soignants (chirurgiens, oncologues, infirmières, psychologues…) reste un long parcours.
Les regards croisés des parents et de leur enfant
Dans son livre « On ne meurt pas à 5 ans » Roselyne Madelénat recueille, avec une infinie justesse, les témoignages d’une mère, d’un père et de Yanis, leur enfant atteint par le neuroblastome, sur ce qu’ils ont vécu à travers cette affection.
Des réponses à leurs questions
Comment s’en sont-ils sortis ? De quelle façon Yanis a-t-il supporté les séjours à l’hôpital, ses traitements et leurs effets secondaires, les pleurs et les disparitions de ses camarades de maladie, l’inquiétude de ses parents et ses propres angoisses.
Un immense message d’espoir
Ce livre est le récit de cette guerre contre le neuroblastome. Mais ce témoignage ne s’arrête pas là : il y a la vie après la rémission puis la guérison. Un immense message d’espoir pour tous ceux qui sont confrontés à la maladie.
A Lire : On ne meurt pas à 5 ans par Fadila Benahmed aux éditions l’Archipel.
Didier Galibert
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