Aujourd’hui, en France, les accidents vasculaires cérébraux sont la première cause de décès pour les femmes. Avec 150 000 victimes chaque année, l’AVC est devenu un enjeu de santé publique.
Eviter la fibrillation atriale
La fibrillation atriale se caractérise par une concentration inefficace du cœur. La diminution du débit cardiaque entraîne une stagnation du sang au niveau des oreillettes pouvant se traduire par la formation de caillots sanguins. Ces caillots peuvent migrer dans les artères, en particulier dans celles irriguant le cerveau, pour déclencher un infarctus cérébral, appelé couramment AVC.
Un risque accru d’AVC chez la femme
Les femmes vivent plus longtemps que les hommes. Il existe donc une relation de cause à effet. L’âge étant le principal facteur de risque d’AVC, les femmes ont donc quantitativement plus de risques de faire un AVC. De plus, une femme présente de forts changements hormonaux tout au long de sa vie, lors d’une grossesse et lors de la ménopause.
Des anticoagulants efficaces
Au cours de ces dix dernières années, des traitements adaptés ont révolutionné la prise en charge de l’AVC. Engagée dans la prévention de l’AVC, l’alliance BMS-Pfizer propose un site internet pour répondre aux besoins d’information des patients et favoriser ainsi une meilleure observance.
Plus d’infos sur www.monanticoagulant.fr
Didier Galibert
|