Il est impossible pour vous de prendre un petit déjeuner sans café ou encore de terminer un repas sans l'expresso « qui va bien » ? Alors vous faîtes sans doute partis des millions d'accros qui ne s'imaginent pas vivre sans leur dose quotidienne de caféine ! Une addiction qui reste sans gravité tant que les quantités restent limitées...
Docteur c'est génétique ?
Pour expliquer cette dépendance au café, des chercheurs des universités d'Edimbourg, en Ecosse, et de Trieste, en Italie, se sont intéressés à un gène en particulier : le « PDSS2 ». D'après les résultats de leur étude, publiés jeudi dernier, les personnes qui en sont porteuses boivent en moyenne une tasse de moins que les autres ! En réalité ce gène serait capable d'inhiber la capacité du corps à dégrader la caféine et donc à maintenir plus longtemps ses effets positifs sur l'organisme.
En clair : si vous avez besoin d'enchaîner les pauses café pour en ressentir le « coup de fouet » c'est sans doute que votre patrimoine génétique est dépourvu de ce fameux « PDSS2 » !
N.Bourboin
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