Depuis le 11 janvier, la consultation du dossier pharmaceutique est autorisée pour les soignants et médecins et soignants dans des structures gériatriques et d’urgences expérimentales.
C’est dans des établissements publics mais aussi privés que débutent les tests de cette pratique. Le but de cette nouvelle directive est de construire une meilleure coordination entre le médecin de ville et celui de l’hôpital, ce qui permet une connaissance instantanée des traitements antérieurs et du risque anesthésique des patients.
Si le travail des médecins va se trouver facilité, c’est aussi une charge en moins pour le patient. En arrivant à l’hôpital, celui-ci n’aura plus à subir une multitude de questions sur ses traitements et son passé médical, qui peut être oublié ou erroné.
N.Basse
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